BASA
dans un document de cette année; c'est celui de CbaITa, à l'extrémité oriental e du bourg de Saint– Ours; l'insigne collégiale y avait des possessions (1). Le doyen de Sion, Marc d'Aoste, fil son testament, le 2,1 no1'embre. Il laissa bon nombre de legs, et nworisa notamment les religieuses du couvent de Louèche, qui avait donné naissance à celui de Sainle– Catherine d'Aoste. Quant à son patrimoine et aux bi t·ns quïl avait acquis à Aoste, il institua héritiers ses frères Pierre , Jacques et Gonlerin. li légua ses livres des Décrétales h son autre frère Uldric, qui était clianoine régulier, et h son n3veu Jacques, qui vtait cha11oine de Sion. Le reste de ses livres, il les donna à son autre neveu Uldric. No~s n'ayons pas d'autres données sur la famille dé cc personnage dis– tin gué (2) . A la da ie du 6 décembre , no us remarquons une lettre de Jean, préYôt de Verrès, adressée à Gonlier, prieur de Saint-Ours el à tout son chapitre. Cette lettre nous offre un touch ant témoignage de la cha,. rilé fraternelle qui uni ssait !es denx monastères. Le prévôt se plait à y reconnaitre les services rendu ,1; par la collègiale à son couvent, ~ t déclare admettre les chanoines dJ Sain t-Ours en participatio11 de tous (1) Kalend. S. Ursi. ff. xrx et xxrx. (2) Gremaud, Docu111wts, etc. . ,,
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