BASA

- 290 de (·'hôpital du llumeyran , de sa femme Jacquète, rl d'un clerc à leur choix. Celle donation consistait en une pièce de vigne sise à Rosser, et était, après leur mort, réversible à l'église cathédrale. Les dona– taires étaient cependant l:·nus de payer l~ cens de sept setiers de vin pur ( 1). La confrérie dn Saint-Esprit établie au bourg de Saiut-Ours (· lait con stitu ée en corps moral et faisait des acquisitions. La 1° férie de juin, elle acheta de Nicolin de Chablo, pour le prix de qua.Ire livres et dix sols, un champ et une vigne situés a Valseres– chi . Jean, substitut du chancelier Go;1lier, rédigea l'écrit relatif (2). Mais abordons la question si intéressante du Sy– node tenu ,' en 1280, par l'évêque Simon, non pas le premier dans l'ordre des temps, mais le µr emier dont la date soit certaine. Les premiers actes de Synodes diocèsains, que nous possédons, ont été in sé rés dans le précieux Pontifical du B. Emeric 1 de Quart, 1~ cri t en 1309 (3 ). Nous ne pournns douter de leur au– thenticité. C'était la coutume dans les temps anciens d'unir aux Pontificaux el aux Missels les ordonnan– ces r piscopale;;, afin de ne pas les éga rer et dt• les avoir fréqurmment sous les yeux. Les statuts synodaux attribt1és à. l'évêque Simon peuvent être di1isés en deux clas~cs. La première (r) Arcb. de l'éuêc/Jé. (2) Id. (3) F. CL\' <;t scqq.

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