BASA

- 295 bapl ème, vient celui 1fo la confirmat ion. L'évêqu e veut « qu e les pl'è lres aver tisse nt rnu vent les fid èles de l'obligation de recevoir la confirmalion arrès le baplème post baptismum. Si le confirma11 t est ad uIle, qu 'il se confesse préalalJlemenl ( 1))) . D'après ces mots, il semble rés ulter qu 'au treizi ème siècle la règl e gé– nérale était de donner la confirmation au\ ptitits en– fants, taudi s qu 'il s n'étaient pas encore en étal de se confesser; le contraire Jtait plul ôt une exception . L'évèqu e passe en~uile a la célébration du Saint– Sacrifice de la Messe el 1t la communion des mala– des. li ordonne de laver sou ven t les lin .~e.; de l'au– tel et de conserver da ns un élat de proprr: té les or– nemants, l e~ calices et les autres vases sacrés, cc à cau :>e clu respec t qui e.> t dù à Notre Sau \'eur et à toute la Cour céleslt', qui, a,·cc lui. esl présente toutes les fois que la m:'sse se cé lèbre, r; ne cwn eo presens est quoâens missri celebrafitr >i. Ne voyons– nou s pas dans ce passage un témoi gnage év ident de la croyance à la présence rée lle de Notre-Seigneur sur l'autel ? L'é vêqu e défend aux diacres le port du saint via– tique, sau f le cas de néressitLi . C'esl le prètrc qui doit administrer la sainte com:nanion aux malades ; il do:t s'acquiller de eel!e action avec un grand res· pecl, porlanl le Saint Sacrement dans t1ne pixide d'i– voire ou d'une autre mati ère convenable, précédé d' une lanterne allumée, en clrnntanl les sept psaumes (1) F. CLVI.

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