BASA
- JOO - la perception des amendes était renrnyér, à l'époque de la visite. Est défendu e l'aliénation des biens des égli– ses, sans l'ayis de i'évèque. - L'opération césa– rée nne est obli gatoire, quand il consle de la mort de la mère, el qu'on croit l'enfant vivant. - De suite après la mort d' un paroissien, le prêtre doit en faire l'abso ute, c'est-à-dire, réciter le De profundis el l'o - rai son analogue. C'est là un témoignage touchant de la sollicitude que l'Eglise continue aux fidèll's aprèa leur mort. - Les démi ssions des églises ne peuvent se faire entre les · mains des abbé,; ou clts patrons, elles se font entre les mains de l' évêque, qui a don– né la mission. - cc Les étrange rs quèleurs d'aumô– nes ne doivent pas célébrer la me s~c su r des arc!u•s (1). ni sonner la clochette dans les ru es, ni prêc her à l'èglise, ni oflhr des reliques ; qu'i ls présenten t seulement l1~ urs lellrPs tes timon ia les ave0 celle de l'é– vêque diocèsa in, el qu e les prèlres (les curés) pa r– lent pour eux. >> L' é\'èque recommande aussi lïnstrn ction religinu sc du peuple. Les prètres doivent apprendre aux fidèles à bien rôci ter l'ornison dominicale, le Credo et la Sa– lutation angé lique (2). - Il leur e~t dMendu d'avoir des personnes étrangè res dnns leur maisor;; ils ne peuYenl garder que leur mère, leur sœur ou des persor.nes qui ne puissent èt re l'objet d'aucLn so up- (1) Peut-être y avait-il quelque part l'abus d'ofÎrir le saint sacrifice sur les arches renfermant les aumônes en denrées ou autres données par les fidèl es. (2) F. eux.
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