BASA

- 304 chandeliers el !es vases de l'église nn doiv ent pas servir à des usages profanes. - Il est dëfo ndu aux curés et aux dés~e rvanl s d' églises d'i nféoder les biens immeubles de leurs 1\g\ises, de les aliéner, de les sou- 1m ttre à hypothèque. - Les excommuniés doivent èlre fui s et éloignés de la société des fid èles catho– liques jusqu'à parfaile sa li sfac lion. Suit une règle ou une rubrique par rapport à la récitation de l'otnce. Nous remarquons qu 'en ce lemps on suivait le même ordre qu e de nos jours dans la disposition des leçons des nocturnes de malin es el des répons. Pa1· e\ empl e, il esl dit qu e, d1 1 puis le dimanche de · la Trinité jusqu 'au premi er dimanche d'aoùl, on doit lire les liHes des Roi s. C'es t ce qui se pra lique aujourd'hui encore . Ce qui montre l'at– tachement invariable de l'Eglise aux anciennes prns– criplions liturgiques. Hevi ent un décret qui défend aux curé~ d'appli -· quer au profil d'une ég lise les biens d'une autrn église, lors même qu'ils les adm;nislreraient toutes les deux ('1). Sont ens uit e én umérés lns ùifférenls mod<'S d'aliéna tion, c'est-à-dire la Ycnte, la donation, la permutation , l'hypothèque. li est dëfendu à !out reli gienx, sous pei ne d'in– terdit, de demeurer auprès d' une ëglise paroiss;ale, sans l'assistance d·un confrère. L'eyèque défend d ' impos~ r de nouv eaux ce ns aux égli ses 011 d'augme nter le8 anciens. cc Qu'aucun pré- (rl F. cLxt verso.