BASA
3H - deux clients, s'il y en avait dans la parenté , qui voulussent s'enrôler dans la croisade de la Terre-Sainte. Parmi les témoins de ce testament, figurent Pierre, prévôt d'Aoste, Pierre son chapelain, Vuillerme de lluna et maître Amédée chapelains (1). 1~81. Culte de S. Ours a l'étranger. - Traité d'allian ce entre les citoyeqs et !es bourgeois d'Ao ste, so us l'hégé!l)onie d11 vi– comte Ebal. - Fondation de servi ces religie ux et de réfec– toires en la cathédrale. Dès les temps recul és , on le sait, le culte de sai nt Our;; était en honn ~ Hi', non se ulement dans le dio– cèse d'Aoste, mais aussi dans les pays étrange rs. L'i llustre sai nt répandai l parton t ses bienfaits précicu x. Aussi son nom glorieux a-L-i l été donné même aux places publiques. Une charte de 1281 mentionne la Place Saint-Ours dans l'ancienne paroisse de Cam– piglia en Val soana (diocèse d'Ivrée) . Notre saint éten– dait donc sa protection snr Ioules les Alpes (2). Le vicomte Ebal était souvent en lutte avec d'autres seigneurs valdôtains. Désirant se former un (I) « lttim ordinavit quod mitterentur duo clientes Terre Sancte pro remedio anime sue quibus donentur xxxn libre ca– pitalis monete, quando ire contigerit peregrinatio publica, et si sint dicti clientes de parentela dicti iacobi, si sufficientes pos– sunt inveniri, aliter non . » Lib. Red. Cap . .Aug. f. xx!l. (2) L'l nsignt Collégiale dt S. Pien·e et S. Ours, p. 33;
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