BASA

- 334. - Un ' des p1;inci paux revènus fiscaux de nos Souve– rains ëlaif ,· comme n'ous avon s déjà eu · li'eti de ' le remarquer, les droils de péage soit de douane. · te' peage 'de Bard surtout donnait des rece ttes considé– rables. En 1283, · il rapporta trois ct•nt quatre 'li-vres, quinze ·sols el quatre deniers de Vienne (·1); et six livres, èinq ~oi s slerlings. Eu oe lle année, pàssèrnnt à Ba·rd dcùx ' mille deux cent ;vin'gt- cinq ·cht!vaù\, dont chacun' flut payer neuf deni ers de péage, outre quâtrè-\·ingt dix-neuf chevaux anglais: ceux-ci, etanl d'un plus haut pri'\, payèrent chacun la ta'Xe de quinze deniers sterlin:is (2 1 1. Les envorés des Sournrains ' \ . étaient, paraît-il; exempts des droits de péage.. l ir~ ~ i à un ·ambassadeur d'A ngleterre on restitua la =taxe qu'il avait pâ)1ée pour onze chevaux de pàssage . On le voit, la grande route de not rn Vall ée était très fré'queritée dans le moyen âge ; de là, le commerce në ·pouvait manquer d' r êt re florissant. (r) Le denier de Vienne de ce temps valait environ 17 c. de notre monnaie courante. (2 ) Cj)Jrario ,. Operette varie, p. 102. ' ' 'I

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