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évêques. Mais somnws-nons tenu s d~ croire à lenrs affi rmations ; quand elles sont déponn' ues de toute garantie de fait et de ~a'.e? Un profond désaccord existe d'ailleurs enlrè ces historiens, touchant l'époque où aurait siégé Rodolphe. L' un le crée évèque en 1202 (Mothe! ou son abréviateur anonyme); l'autre, en '1214 (dr. Tillier); celui-ci, en 1224· (Genand) ; ce– lui-là, en 1 124.9 (Besson). Evidemment, ces auteurs vont à tâtons dans l'obscurité, san3 pouYoir trouver une date certaine ni s'appuyer sur une pièce origi– nale. Une critique sérieuse nous oblige à laisser dans l'ombre le nom de l'évêque Rodolphe , el à donner pour successeur au B. "Boniface de Valpergue l'évê– que Pierre d'E lrouhlcs.