BASA

l'évêque Simon, lis nous montrent cependant la dis– cipline de l'Eglise tendant sans cesse à la répression des excès, au maintien de la foi et à la réforme des mœurs. Le zèle de Nicolas Bersatori y paraît arec relai, laissant dans les âges un long sillon d'honneur. Poursuivons le récit des faits qui se sont produits . dans le diocèse, celle année 1296. Le 29 juin, Picola, veuve d'André Duverger d' Excenex, et son fils Jacobel engagèrent à Marc, recteur de l'hôpital de la Porte-Saint-Ours, un e pièce de terre avec ses droits à l'eau, i'ise à Excenex dans la localité de Soneyno. Dans le cours de celle année, le même hô– pital acheta de Jean de Rambert deux propriétés à Porossan, au mas de Tharnyer, el rrçul en donation de Marielle, veuve de Crispin d'Establo, un pré qu'elle possédait à Establo, aux pertinences de Cugnyon, sur le territoire ùe Saint-Christophe ( l ). De son côté, le chapitre de Saint-Ours acheta d'JJumberl du Moulin une maison , un champ el des cours situés au pont de !'Arc (de Triomphe), et eut en présent de Boniface de Thora des po5sessions à Machauchy inaresc/wney (2 ). Le chanoine Valt er COlllinuail à aclmini$lrer le prieu– ré de Sainl-füning, qui dépendait de la prévôté du Mont-Joux. Il est nommé dans une foule de chartes de cette époque. Ain si Aubonin de Rionda et 8a fem– me Perrelle ayant inféodé à Pierre de Rionda et à ( 1) [(al. S. Ur si, ff. xxrv, XXV!! et v1r. (2) Id. ff. x et xxvm.