BASA
- U9 qu'au 1 •r févl'iel' de l'année suivante. Nous ven· o.as plus loin les résullats de cet arbitrage (1 ). Le,; valdôtains ne se faisaient pas faute de rncou– ril' a·u Saint~Siège dans les controverses qui les di– visaient. .Jeannet, fil s de Girod ù'Ecbarlo, étant sous le poids d'un e conùamnatior1 de la part de l'official mélropolitain dC\ Tarentaise dans une cause qu'il sou– tenait contre Perronet du Chalelar et Pierre Beliard, i11terjela appel auprès du Saint-Siègfl. C'est dans une ll'llre d information qu e l'offici,11 de Tarentaise adres– sa, le 14 jui11 1298, au pap~ Boniface Vlll, que ce fait est narré (2 ). Nous en ignorons les suites. Nous avons relaté en son temps la Jotation de la chapelle du Chalelar à la Salle. Lea palrons, · Perro– net avec sa femme Béatrix, .Jacquemet l'l Vuillermet , fils du chevaliPr Jac1p1es Grossi du Chalelar; voulu– rent bien, le 1 8 juillet, au gmenler les fonds de celle chapelle, el en même lemps nommer un successeur au chapelain Nicolas de Derby qui venait de mourir. Leu r choix tomba · sur Guillaume du Villair. Les pa– tron ~ accueillirent l' ôlu av~c le bai se r de paix, et l'investirent de son bénéfice par la tradilion d' un bà. ton. Les témoins, appelés en Cl' tle circonstance au châ– teau du Chatelar, l'urent Jean, curé de Morgex , Amé– dée d'Avise, elc. (3). (!) Arc/J . d ~ l'évéc/Jé. (2) Id. ()) Id . 31
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