BASA

/ apprend que le langage vulgaire soit le patois en usage dans la Vallée était le mème alors qu'aujour– d'hui. C'est ce qui appert d'un acte de donation de Jean Columbin de Cheso, village de Torgnon. Le do– nateur fait cession à l'église de Saint-Martin de Tor– gnon de trois pièces de terre, la première située à Cleves, la seconde ou secheron, la troisième ou passeor. Cette propriété était confinée par des biens apparte– nant aux enfants de Perrin (1). Notons, en passant, qu'il y avait, celle année, à Chatel-Argent une barrière en travers de la Doire, où l'on levait la dime des pièces d'arbres qu'on fai– sait floller sur la rivière (2) . (1) .'1rch. de la cure de Torgnon. (2) Cibrario, Origini e Progressa della Monarcbia di Savoia, v. 11, p. 92. (.

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