BASA
- 466 - était tenu de faire célebrer seize messes chaque an– née, au jour anniversaire de la mort du tes tateur, ainsi qu'au jour anniverrnire de la mort de Vuiller– me Pavillero, plus d'acheter un calice de la valeur . de huit livres, el de faire achever la transcription du mis~el apparter.ant à la chapellenie de Saint-Jean. Après ces premières dispositions en faveur de son bénéfice, le cu ré Aimon fit des legs particuliers à ses parents, c'est-à -dire, à ses nev eux déjà nommés, à sa ~œur Jeannette, à son autre sœur Béatrix, à ses deux nièces Vuillerma el Cécile, filles de cette dernière, à son autre neveu Hugues étudiant (1) el à Nicolet Moschet. No us r':lmarquons qu 'il donna à celui-ci 8a plus grande fine, maiorem t!tinam suam, et à sa sœur Béatrix un st~rin unum serinum, que lui avait offert le seigneur Vu illerme de la Porte. li légua à la cathédrale trente-deux livres pour un réfec loire, dix livres pour être employées en frais de restauratio11 de l'église et un missel qu'il avait achele du marchand Nicohs. Les différents autels de la ca– thédral e participèrent à ses l arges~es, lt savoir les au– tcl5 de Saint-Bernarcl, de Saint-André, de Saint-Blaise, de Saint-Marc, de Saint-Augustin, de Saint-Jaéques. L'église de Saiut-Jean, les chapelles de Saint-Sauveur et de Saint-Grat ne furent pas oubliées par le pieux testateur. Il fonda un anniversaire en l'église de Saint- (1) « . • Causa eundi scolas . ·•" Ce qui prouve que, de tout temps, le cl ergé a favorisé l'instruction, en aidant de ses lar– gesses -les jeunes étudiants.
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