BASA

- 4.71 - Challant, avait l'aile à !"église de Saint-Gilles. Le do– nateur imposa dans l' acte relatif la condition d'une messe à célébrnr par lou ,; les prèlres du couvent, le jour de sa morl, mo yenn::i nt la rétribntion de quin– ze deniers à chacun. Il choisit sa sépulture dans l'é– glise de Saint-Gilles ( 1). Une charte du '7 aoùt rapporte l'inféodation qu 'Ilu– gonin de C/wrreria, clerc d'Aoste, fît à Aimone! de Va– chayri el à Guigone sa femme. Les bi e n~ inféodés étaient situ és ll Etroub!es aux pertinences de Vachayri. Le prévôt Henr i, l'official Hodolplw , Airnon de Mor– gex clerc et Vuillerrne du Palais assistèrent à cet acte qui fut reçu dans le clollre de Sain le-Marie pnr le nolaire Jacobin Je Bose! (2) . Ce n'es t pas seu lement la Maison de Challant qui étendait son influence et ses relations au -delà des bornes étro il es du pays. PLusie urs autres nobles val– dùlains, qne nou s a\'Ons signalés, avaient acquis des possessions en Vallais ou y occupaient des pJs les ho– norables. Le 1 0 septembre 1 300, nou s \oyon s Bo– niface de Sarre, déjà cha11oine de la cathédrale d' Aoste, fi gurer comme chanoine~ de Sion, et rendre avec d'au– tres juges une sentence arbitrale entre le. ch ap itre de Sion et Aimon de Monljovet, au st~jet du tc~ tam e nt de Piene de Montjovet, frère d'Aimon, el, de son vivant, chanoine de Sion (3) . Un les lamenl, inspiré aux pures sources de la foi (r) Cartulaire dzt couvent de Verrès. ( 2) Arch. de l'évêché. (3) Gremaud, 1. c. p. 55I·

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