BASA

419 - mit de n'y jamais plus couper du bois, sans la per– mi3sion du prévôt ou dt1 garde-forestier. De quoi tout fut dressé acte sur le cimetière de la cathédrale, le . 1 13 septembre, par le notaire Jacqu es de Bose!, sous la dictée de l'official lloclulphc, et en prése nce d'Ai - mon de Jo vensan clerc, de Jacomet d'Allein et àe J,)an de la Plan tala, chanoine de la cathédrale ( 1). Ce fait et autres anal ogues nous montrent la bonté et l'indul gence du chapitre envers ceux qui attentaient à ses droits et à ses propriétés ; il ne leur demandait qu ' un acte de bon propos pour l'a– venir . Le derni er acte que nou s connaissons de l'admi– nistration pas toral e de Nicolas Bersatori est la colla– tion du bénéfice de la Ma la!lière. Emeric, recteur de celle maison ho , pitalière, ayant offert sa dé– m1ss1on, l'évèqu e, qui en ,\tait le patron, en con– f.lra la régie, à tilre de bénéfice, à son propre neveu Nico– las Bersalori, déjà chanoine de la cathédrale d'Aoste. Nous ne pournns dou ter q1ie le suj et ne fùt digne de celle nomination. C'est le mème q~ii, en 1321, fut promu au sii:•ge épiscopal d' Aos te. L' évèqur., en date du 20 septembre, le nomma l\?Cteur et adminislra· leur de la Maladière, et le mit en possess ion par l'anneau, assi sté de l'official llodol pli e, de Jean de Cogne, et de Vuillerme Molinet son chapelain (2). Nous avons encore de l' évèq11e Ni colas, un docu- (1) Arc!J. d~ l'éuêc!Jé. (2) Id.

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