BASA
- 100 - y observera des incorrections de style; mais il se les expliquera facilement, sachant que le comte Olivero n'a pas écrit dans sa langue maternelle, S'il ne peut en admirer la forme, tout valdôtain, ami de l'histoire, sera heureux de posséder un ré– cit, riche de faits et exact pour le fond, d'un évé– nement mémorable dans nos annales. Il remarquera surtout avec plaisir que la trahison n'a eu aucune part à la reddition du fort de Bard, et que le com– mandant autrichien a fait vaillamment son devoir, pendant quatorze jours de défense. A. D. E.
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