BASA

- -- 22 - !entières, premier Président au Sénat de Savoie, écrit au bailli, etc., que M. du Cr es t, de retour de France, lui a présenté « des lettres de S. M. et communiqué le traitté de la tresve et neutralité » et que de son côté il promet de le faire fidèlement observer et tfe leur rendre en outre tout autre service qui pourrait leur être agréable. La France n'était pas seule à traiter avec tant de bienveillance le conseil des Commis; le roi d'Es– pagne, dans une lettre écrite en langue espagnole le 7 mars 1557, recommandait instamment au car– dinal de Trente, gouverneur du Milanais, de proté– ger de toutes façons le Duché d'Aoste. Toute cette correspondance j ette le plus beau jour sur le crédit dont jouissait le conseil des Commis à l'étranger, ainsi que sur le dévouement intelligent et le patriotisme avec lesquels il veillait à la dé– fense et au bien de ce Duché. Séanr:e 411 13 8epC.cmb1•e 1M89 . Mgr le président lit une « Relation des pompeu– ses magnificences faites dans la paroisse de Valsa– varenche le 18 juin 1673 », lors de la bénédiction de l'église et d'une statue de la sainte Vierge inau– gurée en cette circonstance. La présente relation n'est qu'une copie manuscrite d'un opuscule publié en 1673, par l'imprimeur Zapata de Turin, et qui était dédié aux Dames de la Visitation de la Cité d'Aoste. La relation s'ouvre par un sonnet adressé au sei– gneur Pierre-Philibert de Roncas, marquis de Ca– selle, baron de Châtel-Argent, de Cly, etc. Viennent ensuite plusieurs pages consacrées à célébrer dans

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