BASA
- 66 - celle du xr• consulat. La Trwunicia potestate, sans date, nous laisse conjecturer que c'était la première fois qu'Auguste était investi de cette charge. Cette opinion est soutenue par l'autorité de M. le prof. Ferrero qui a étudié l'inscription d'Aoste, sur laquelle il a adressé un rapport au Ministère de l'instruction publique. Au sujet de la concordance de ces dates, M. Ferrero nous écrivait : « n consolato XI 0 , l' VJIJa salutazione impera– ,, toria e la tribunicia potestate senza numero » (quindi la P) concordano pienamente (ra di loro » e corrispondono al 27 giugno 7 31 - 27 giugno » 7 32 di R. L'l VIIII salutazione ci porterebbe » alla tribunicia potestà lIII" (corrisp. al 734-735); » impossibili la XIIP ed altre posteriori. ». Le mot SALASSI est très lisible. L'appellatif in– colae pourrait avoir une signification plus restreinte que celle d'habitants. Cicéron l'emploie dans le sens de compatriotes et Pline, dans celni d'indigènes, de premiers habitants d'un pays. Nous retrouvons aussi dans Cicéron l'expression « colonias consti– tuere ». Le mot coloni est précisément celui qui con– vient aux Salasses vaincu'3 et que Rome donnait à certains peuples soumis à sa domination. Salvien (1) nous détermine la signification de ce mot au v• siè– cle : « Nonnulli eorum de quibus loquimur, qui aut » consultiore:. sunt, aut quos consultas necessitas » fecit, cum domicilia atque agellos suos pervasio– » nibus perdunt, aut fuga ti ab exactoribus dese– » runt, quia tenere non possunt, fundos majorum, » expetunt, et coloni divitum fiunt. Aut sicut salent (t) De Gu)Jernat. Dei, lib. V.
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=