BASA

-7 - près, la princesse de Lydie à genoux, regardant son libérateur. Au dessous de cette fresque, on remarque trois personnage3 qui sont saint Lazare évêque et ses deux sœurs, Marthe et Marie Au dessus de toutes ces peintures se trouve une déc'wation en carrêlement, et le tout est enfermé dans un encadrement d'arabesques et de guirlandes de fleurs et de feuilles d'une parfaite fraîcheur. L'auteur de ces fresques est inconnu, mais c'est fort probab'ement le même qui a peint, sur les murs de la salle de la Tour de Vill3, les armoiries de vingt-deux familles nobles, et près de cette salle, un monogramme du Christ absolument identique à celui de la chapelle de La Madeleine. Mgr Duc termine en disant que, sans être des objets d'art, toutes les figures de saints représentés rnr la façade qui nous occupe sont admirables de piété, de bonté, de modestie, et atteignent le véri– table but de la peinture religieuse, qui est moins de charmer 1e regard que de toucher le cœur et de l'élever vers les régions du monde surnaturel. Sur la fin de la séance, quelques membres pro– posent deux candidats aux personnes de M. le comte Charles Cipolla, professeur d'histoire à l'Université <le Turin, et de M. le chanoine Ulysse Chevalier, correspondant de l'Institut. Séance do Z8 octobre 1891. I. - L'assemblée procède d'abord à l'élection des deux candidats proposés dans la dernière réuniou , lesquels sont admis à l'unanimité des votes. II. - M. l'abbé Frutaz donne ensuite lecture de l'introduction à ses Recl,erches hisloriyues sur t' Hô.