BASA
- 46- des circonstances mnltipJes et smtont. au pntronage ùe la Maison de Savoie. I1a plus rude épreuve lui était encore ménagée par la Bulle ln suprmninenti ùe 1752, qui le privait de touilles bénéfices possédés dans les Etats de Savoie; mais la Providence veil– lait sur la maison hospitalière, f]Ui put renaî.tre de ses cendres et qui continue toujonrs sa mission de charité. I1a Maison du Saint-Bemard n'a pent-être jamais eu des jours anssi florissants qu'nprès les épreuves du siècle passé, de l'époque napoléo11ienne et la guerre du Sunderburnl, et les Valdôtafos ne sauraient oublier les bi enfaits qu'ils en ont reçus. Saint-Bénigne, Saint-Jacquême et l'Hôpital Mauri– cien d'Aoste ne sont que des transformat.ious de la charité inépuisable du Grand-Sai11t-Bernard. III. - M. le chanoine Béthaz; mrnonce qu'il va terminer l'histoire <ln Grand Séminnire par la série des Supérieurs, des directeurs, iwofesseurs et éco– nomes de cet établissement, et il commence pm ces derniers. En 1691, Mgr Bailly, se proposant ù'ouvrir nn Séminaire dans la paroisse de Saint-Etienne, avait chargé des préparatifa de cette construction M. l'archidiacre Riuitel et le chanoine Pantaléon Olw– telard. Ce projet ayant échoué, ces mêmes ecclé– siastiques administrèrent les fonds existants et s'oc– cupèrent cle l'installation <ln Séminaire près <ln Collège de Saint-Bénigne. Après eux, le premier écouome fut le chanoine Nicolas Dossan, qui exer– ça cette fonction de 1720 à 1740 et qui eut dix successeurs jusqu'au jour présent.
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