BASA

- 51- vers le général en chef et lui représenter l'état d'épuisement et de détresse ùans lequel se trouvait le pays. L'assemblée délibéra de charger le sieur Augustin Secondin de fournir le foin, la paille, le vin, le sel, le riz dont il se trouverait pourvu com– me particulier. Les ordres donnés par quelconque des conseillers étaient censés suffisants et légitimes, vn l'urgence du service militaire. Par lettre du 17 mai adressée à l'avocat Bianco, syndic de 1 e classe, le général Lannes, commandant l'avant-garde de l'armée française, lui annonça que rien n'était innové dans l'administration et que les pouvoirs continuaient an Conseil qui était en charge. L'avocat Bianco fut nommé vice-intendant et l'a– vocat Charles-Dominique Rebogliatti, syndic. Afin de pourvoir aux subsistances, le Conseil nomma avec pl eins pouvoirs, un Comité formé des avocats Ganta, Gerhore et Martinet, des notaires Laurent, Ohenevier, Marquet, '.rercinocl, Barmette et Oognein, du médecin Jans, du mesureur Droz et du conseiller Jorand. Stiance (lu 7 juillet 1900. I. - L'auteùr de l'Bistoire des Evêqiies d'Aoste parle de Georges de Saluces, qui occupa le siège de sain t Grat de 1433 à 1440. Quelque temps au– panwant, deux de ses cousins, Amédée et Pierre de Saluces, après avoir été chanoines de la métro– pole de Lyon, étaient devenus, le premier, évêque de Valence et ensuite cardinal, et le second, évêque de Mende. Nommé archidiacre de la primatiale de Lyon en 1424, Georg·es fréquenta le cours de droit canonique

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