BASA

- 145 voulait introduire à Aoste le tribunal de l'Inqnisi– tion, et des dénutrches f aites auprès du Duc de Sct– voie, pour empêcher cette tentritive. Roncas parle ensuite dii priettré de Sctint-Bénin dans le passage suivant (1) : « ... Je vons e nvoie cy ioin ct un double d'nn article contenu en la lettre de lambassadeur de son Altesse a Rome par lt>quel vons verres co mme est pasi;;e la:ffere et comme la traverse est venue de lieu ou nous ne la debvi ons attendre ny esperer. O«:>la peult. servit' de l<'çon a n e s'embarq11«:>r s11r l«:> s ii1teres <l'ault.ruy, et. Ct>pi-ndant de mon coi;;te ie con– tinne a procurer les re plicqnes necesi;;aires de la part de S. A. qni a obli ge singnlierement le pt>is en ce que non ,;;eulerrn~11t ell e co11t.ir1ne e n sa bonne volonte a lendroi ct di c1,llny, mais de pins a bien faict st>ntir a mon! le Rme d«-> Bell«->y combien de– sag:gr«->ahle lny a este qne il frrst allé a Rome sans son sen, ainsi qne vons ponrra dire leùict. sr lit>u– t«:>nant Bornion a qni ie me renwts dn s11rplns mes– me sur les difficnltes qni se pr«:>s«->11tPnt au faict de la reparation de vostre lac de la Thuille...... » « Turin ce 9 novembre !.596. « Votre humble et trn; afft>ction11e serv ite 11r <>t pa triott.e RONCAS » (2). (1) Cette lettre et les suivantes existent aux Archives du Conseil des Commis. (2) Bonaventure-Philibert Born ion était l'agE>nt et ·Je confi– dent de Roucas. On voit d 'après cette lettre que Mgr Giuocl était allé à Rome pour entraver l'œuvre de Roucas. 10

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