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-13 - quelques détails intéressants. Le Chapitre avait dé~ légué, pour le représenter, le prévôt Dondeynaz et le chanoine Cnrgoz avec l'assi stance dn notaire Grat-Joseph Coccoz. Le comte intervint avec son avocat Jacques Roland, et le vibailli avec le no– taire Jean-Georges Favre, greffier an bailliage. Le 17 août 1767, à 2 heures <le l'après-midi, tous se tronvèrent an chœur de la Cathédrale. On cons– tata d'abor<l que les armes de Challant étaient d'ctr– gent cm chef cle giieitles à la bande cle sctble et qu'elles se trouvaient anx deux intersections des nervures dn chœnr, avant celle de l'abside, et aux culs-de– lampe de deux arcades dn même. An bas des trois degré~, entre le chœur et le sanctct sanctor·wn, se trouvait un mausolée en marbre blanc (1) « de la « longueur de quatre pieds cinq onces et demie et « de la hauteur de deux pieds, y compris deux on– « ces de massonnerie, laquelle massonnerie est po– « sée sur un pavé fait à la mosaïque et le dit « mosolé prend et entre dans le premier les dits « trois degrés, lequel est de l'épaisseur de quatorze « onces, portant une statne étendue en marbre « laquelle le dit Seigneur comte de Challant al– « lègue représenter Yblet soit Ebal le Grand de « Ohallant, et le dit très révérend Seigneur prévôt « dit croire qu'elle représente René de Challant, « Maréchal de Savoye (2), et donnons aussi acte « que le dit mosolé, à la tête et aux pieds, a l'é- (1) Celui du comte François de Challant, placé actuellement dan s le cloître, au levant de la chapelle du S. Rosaire. (2) Il est étonnant que ni l 'un ni l'autre n'ait pas été mieux renseigné sur un monument de cette importance.