BASA
- 150 - scovo di Auosta, ma del suo vicario non ne parlai perche non mi fu scritto cosa alcuna, non mancaro farne ufficio. Je vons ressouviens estre necessaire descrire au plus tost une lettre de remerciemeut a S. A. une aultre a mousr l'ambassadeur et deulz motz a monsr de lullin et aultant au sr Ripa ne peulvant sinon nous fore paroistre gens de _gratitude. IV. Roncas invite les Commis à tenir prête la somme nécessaire poiir payer les biilles. Messieurs. Si ie nay la comodite Llardver en Auoste comme i'en suis en esperance, ie responùray dans un ionr ou deux amplement au contenu de la vostre puis que ie ne le peux fore a present causant quel– que aultre occupation. Oepenùaut S. A. a replicqne a Rome pour scavoir ce que coustel'Ont les Bulles et cornanùe a l'ambassadeur qn'il aie lœil a ce qu'il narrive novelle traverse en ce faict, et vous pourres procurer de mettre ensemble de ]argent afin _que au premier advis il se trouve prompt. Il fust este requis qu'il plnst a monsr le Vibaillif accompagner le doul>le des lettres dexemption que maves envoie dune sienne lettre a la Chambre, mais a faulte de ce ie la presenterai en cette facon afin qu'ils facent revoquer si l.>on leur seml.>le laccensement faict de la gal.>elle au vin. Je salue sur ce huml.>lement vos graces et suis Messieurs Le tres humble serviteur et tres affectionne patriotte RoNCAS. Turin ce 2 de mars 1597
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