BASA

- 159 - a en bien user que consiste la prudence telle que se doibt attenrlre de vous aultres Messieurs. Et si en ce prochain conseil general luy remonstré avec f'fficace le bien que doibt resulter a nostre pays de ceste institution, facilement il y pourroyt avoyr pf'rsonnes zelees ou bien djcelluy qui contri– bueront quelque chose pom le bastiment quil est 11ecessaire de fere pour la commodite des maistres des escoliers et des classes. La Commission dudict Priore me semble sera bien faire de la conferer au secrettaire du Peys ponr mon strer que cest chose unye et incorporee a jcelluy t\ar il fault sur touttes choses estre sogneux (soigneux) a vous conset·ver le droict acquis et vous garder de toute usurpa– tion (1) . . .. . Votre tres affectionne patriotte et serviteur RoNCÂS. Le verbal de l'assemblée des Trnis Etats d'Aoste réunis le 30 'avril 1604 mentionue cette dernière lettre dans les termes su.ivants : « .... Pins a esté relevé aultre lettre de mon– sieur de chastelargent, dn Conseil d'estat et privé de son Altesse et son premier secretaire, en date du 19me de ce moys, escrite en response a celle desdictz seigneur vibally et commis, touchant le tl eces de feu seigneur reverendissime evesque de belley, en sou vivant commendateur du prieuré de sainct Bening, et la reduction faicte au nom de (1) Hon cas parle du Collège comme d'une propriété du pays. Nous supprimons le dernier passage de sa lettre qui se rap– porte à un autre objet.

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=