BASA
261 ùes langues sm les bo11cllel'ies d'Aoste; 3° les reu– tes féo1lales de Cogne; 4° les droits de réversibi– lité à la Mem;e épiscopale des fief'! nobles d'Ayma– villfl, Rhins et, antres de Ct>tte naturt>, droits dont l'affranchissement devait être traîté à part par la R. Délégation. Sur ces base:-< fut conclu l'acte d'extinction des ce11ses (lues à la Mense épiscopale. Par ùevaut le fourneau, un e étuve, un e cmsme, un réfectoire et un coni– dor pour se promener », le tout à la décharge de la Mense épiscopale, à laquelle le dit hôpital avait été uni, à ces cou– ditiou s, par Bulle du 6 des Ides de j anvier 1456. Cette mai– son, passée plus tard avec ses obligations au médecin Forré, était réversible à la Mense en cas qu'il mourût saus pos– térité. A cet édifice, au XVII• siècle, en avait été uni un autre, vertu de testament du noble Vuill et susdit, reçu le 14 oc– tobre 1649 par le not. Meilleur. Ces deux maisons n'en for– mèrent dès lors qu'uue senle, qui r etenait le nom d ' hôpital de Nabuisson. La dernière n'était sujette à aucune réversi– bilité, mais soumise à un servis de 6 sols et à 2 sols de plaît, lesquels avaient déjà été affranchis, ainsi que la mai– son, clans le contrat du 28 avril 1790. Restaient cloue à affranchir la réversibilité et la servitude de logemen t de l'hôpital proprement dit. Le cas de l'échute était très éloigné, vû que la famille Forré était fort nom– breuse. Quant aux pèlerins, on n 'en voyait presque plus à cette époque, et les r even us de l'hôpital étaient distribués aux pauvres. Le médecin Forré et le procureur de la Mense traitèrent du prix de cet afhan chissement ; mais à défaut d 'accord entre eux, Mgr Solar et Forré - s'en remirent à ]'arbitrage de l'intendant, qui fixa cette cession à 1100 Livres. Le contrat eut lieu le 30 mai 1791, Laracine notaire. L' é– vêque, « en sa qualité de recteur de l'hôpital affranchit
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