BASA

- 25- saut ce voyage à pied et eù herborisant. En 18:!.3 . ' il füt à même d'acheter une belle terre dans un site en chan tenr ft d'y construire un vaste édifice, qu'il entoura de trois jardins, l'nn potager, l'autre à fruits et l'antrc à fleurs. Il livra à la presse, en 1814, la Phyllographie piémontaise, qui colltient des remarques snr la physique végétale et sur le ca– ractère particulier de chaque plante. Une antre publication parut en 1818: Présages tirés dit pouls d'ctprès l'école sphygrnique. « Cet on– vrag<', écrit-il, a pour objet de connaître, par le moyen du pouls, les qualités physiques et morales de l'homme, d'appliquer les remèdes opportuns dans toutes les maladies. » Le succès de ces on vrages l'engagea à se ren dre à Paris, en 1821, « ponr faire imprimer, avec des 110tes, les mannscrits qui lui avaient été délaissés par le docteur Allioni, son précepteur, sons le ti– tre: Méthode très facile ponr développer les secrets <le la nature rlcms le corps hwnain, pctr l'exploration dn pouls. Cet onvr:1ge traite de la manière de com1aî– tre to ntes sort,e.;; de mal:11lies par la seule explora– tion dn pouls, c'est-à-llire, sans interroger les ma– la1les et sans examiner leurs secrétions. » Etant <le séjonr à Paris eu 1830, il y :fit impri– mer Io livre: Etat général des végétanx originctires, on moyen pour .f itger, mêrne de son cabinet, de la sa– ltibrité de l'atmosphère, de la fertilité dtt sol et de fo propriété des habitants dctns tontes les localités de l'it– nivers. Cet 011 vrage et les précédents forent pré– sentés à l'Institnt de France, dont ils obtinrent les suffrages. A la page 67 de l'ouvrage: Etat général des vé– gétcmx etc., Lavy signale sons le titre de Flore dit