BASA

- 290 - présentés ou qui pourraient y avoir été omises, avec promesse de n'en jamais plus créer à l'avenir, et avec cession de la pleine propriété <les bois, eanx, herbage et pacqnier~ qui n'auraient été inféodés que pour l'usage et généralement tons autres droits même ceux de bannalité de fours et moulins s'il y en avait, à la réserve des drnits de pêche, chasse, greffe, amandes, mi11ières, confiscations et bim1s folHls, se réservant sans doute son usage anx bois pour son chatean et granges, sur le pied de deux Communiers, de même l'nsage des eanx nécessn ires à l'al>reuvage et à l'arrosemsnt de ses biens fonds, comme de celles dont pourraient avoir besoin ses fabriques au cas qu'il vonlnt les exercer, sans tou– tefois préjudicier anx arrosements, et qna11t aux eaux nécessaires à l'usage du chateau, les parties s'en sont remises aux avantages et charges usités par le passé pour ce regard. II. - En correspectivité de ce que sns, les dites Communautés, par le moyen de leurs députés, se seraient obligées à débourser dans le terme de vingt ans pour prix dn 1lit affranchissement la somme capitale de soixante onze mille et cinq cent livres, savoir la somme de soixante et dix mille livres pour l'extinction des rentes, cession de propriété des bois et des eaux, et des aut.res articles sus ell premier lien désignés, et celle de mille et ci11q cents livres pour prix ùu désistement de toutes prétentions et difficultés qui auraient pu s'exciter des prétendues nullités et inefficacités des inféo– dations portées par la note sus visée, et toutes autres quelco11ques de cette même nature, à charge du dit seigneur Baron de rapporter de la Chambre des Comptes tant l'approbation des dites inféoda-

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