BASA
- 312 - Dialogus qiunn coniposuit R. P. D.niis Ariw,deus Berrutus Ep. Aug. Guberncttor Romœ dwn esset in ?ninoribus tmnpore Julii II, in quo prœcipite tracta– titr : an amico sœpe ad scribendum provocato ut scri– bat, non respondenti sit amplitts scribendmn ? Et hinc incillenter multa pulchrct - de arnicitirt vera - de amore honesto - de cmiicis veris - cle epithetis curiœ ronianœ et alioruin principttm. - De cttriaUbtts minus vere quam fctcete scribit - et plurct novoqtte stylo adcUt his qiiœ Pius II de niiseriis citrialiwrn scripsit - Pos– tea vero Gubernator f acti1.s a Leone P. P. X, r1i1ûta pulchra accomodate adclidit: quibus llocet qiuûes esse debeant qui riiagistratibus pubUcis prœponuntur. Et in eo quatuor colloquittores introclucuntnr viclelicet: Ma– gister Aniadeus - Aitsteritas - Am,icitict - Ariwr. Suit une gravure très fine donuant quatre :figureR: l'Auteur et trois personnages allégoriqnes: Une vieille mégère: !'Autorité; une jeune fille: l'Amitié et un ange, l'Amour. Ils sont dans l'attitude de la conversation. L'en-tête, on le voit, donne et l'historique et le plan de l'ouvrage. L'auteur dédie son travail à l'Archevêque de Turin, Claude de Seyssel, en qui il voit un prélat « Divinaritm hwnanarumqtte litterctrmn consummiatis– si?nus. » Parlant de la vraie amitié, il en trouve un type accompli dans Jean Duc ou de Diwibits, de Monca– lier aussi. Et il soutient qu'à un ami de ce genre il faut persister à écrire alors même qu'il ne ré– pondrait pas. Sous forme satyrique, il reproche un excès de cupidité aux employés d'une cour princière, sans en excepter ceux de la cour romaine de son temps.
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