BASA

- 56 - Le mémoire, <lressé ei1 1733, énn 111 ère tons, lm; legs faits jusqu'a lors à cet établissement; il note CJU'en 1710 le nombre des reconvrés ll 'était encore q ne de dix ; qn'en 1733, mal gré la di:fficnlté de « l'exaction des censes et <les intérêts <lisper;;és dan s tout le pays », mal g ré les dégats occasionnés anx biens par les inondatious de la Doire, malgré les sécheresses assez fréquentes, malgré les legs imposés snr les donations, malgré les tailles co11 si1léralll es (L. 125), le revenu complexif de la maison en censes, l>i ens ruraux et crédits, s'élevait an 11 ne llemen t à la ,;0111- me approximative de L. 3,500 et l'on e11trete– nait 44 recouvrés. C'était autant de v iei llard s et d'estropiés, à l'exception de que lques orphelins au– dessons de dix ans. Une religieuse, avec l'aide de trois servantes, pour voyait à leur entretien. Les res– sources de la maison étaient in snffisautes pour re– cevoir une centaine <l'autres infortnnés, qui de– mandaient à y entrer. L'Hospice devait cepen<lant assister les malh eureux de passage et faire porte r chaque sema ine des secours à des familles hon– teuses. Un ecclésiastiqne g-éra les fonctions <l'éco– nome dès 1683 en vir1111 ; pl ns tard, il y joi g nit cell es d' aumônier. D es valets éta ient chargés dn soin <ln bétail (17 vaches, un bœnf et mi mnlet) et <le la cnltnre des terres non aclmodiées. Les tlirectenrs de !'Hospice y tenaient habituellement séan ce le di– manche. M. le chanoine Noussan :ijonte CJlle les revenus de l'Rospice sont aujonr<l'hui (1903) de L. 30,000 environ et qne les r ecouvrés dépassent le chiffre de soixante-dix, don t 40 hommes et 30 femmf' s. Inntile d'énumérer ici les antres in sti t ution s de bi enfai sauce existant act,uellement <lall s la ville

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