BASA

- 229 - VIII. Réponse du baron Louis-Joseph de Vallaise (r) 18 s epteITibre 1693 . « Les particularités contenues en l'obligeante lettre Cir– cul aire que jay receu de vostre part demanderoint à mon avis une sérieuse reflexion de ceux qui y peuvent estre in– téressés, aussi messieurs, voyant que la plupart des vassaux et noblesse de ce pays est absente ou occupée au service de nostre Royal Souverain et qui ne peuvent en ce temps se rendre a la citté pour y conférer sur cette affaire, il serait à propos que Ion prorogeat cette conférence jusqu 'à un temps qu e tous ceux qui y doivent donner leur avis puissent s'y rendre pour y trouver les moyens plus propres à la com– mun é satisfaction d es intéressés, car à moins d e cela j e ne saurais me résoudre aux délibérations qui seroint prises sans l' intervention d e la plus plus grande part des dits seigneurs vassaux et nobl esse. Agréés cepend ant, messieurs, mes sen– timents qui ne visent qu'au plus grand avantage d u service de ce duché et q ue je vous asseure du profond respect avec lequel je su is... » Le baron Philippe Antoine de Vallaise et d e Romagnan fit une réponse identique. Les autres vassaux J ean-François Freydoz, baron de Champorcher, le comte Charles-Philippe Perron de Saint-Martin, baron d e Quart, Antoine Rapet, seigneur d e Sarre et d e Brissogne, François Carron, marquis de Saint Thomas, comte de Buttigliera et possesseur de plu– sieurs lî efs cla'ns notre Vall ée, se déclarèrent tous disposés à (r) Coseigneur de Vallaise et d'Arnad.

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