BASA

47 tales de Lille , vi ent de publier (Annecy: Hé– risson frères, I 908) La Savoù d'après les an– ciens voyageurs, où il parl e aussi de la viabilité dans notre Vallée et des passages des Alpes . Ce tte œ11vre curieuse e t de profonde érudition est le dernier tri but que 1 'é rn inent historien a donné à la Savoie et à nos anciennes provrnces avant de les quitter. M. le Docteur Massia , professeur à l'école technique d'lvrée, s'est adonné à une branche intéressante de la philologie : létude des noms de localités. Il vient de publier deux mémoires sur l'origine des noms d' Etroubles (Su !' etimo– logt'a di' « Etroubles » - Nota toponomastica valdostana, Aoste ; Marguerettaz I 908) et de Gressoney (Per le origini del nome locale di Gressoney , lvrea : Tipografia Unione Coopera– tiva Canavesana , 1908). Ce ne sont pas des élucubrations de fantaisie, mais des recherches basées sur les données les plus certaines de la philologie et des plus anciens documents. Dans la Vallée cl' Aoste , nous avons eu aussi quelques éclosions poétiques. M. le professeur Benjamin Christillin dans ses Fleurs du Mont– Rose (Turin,. Casanova I 907) s'est révélé avec un talent et une facilité qui méritent tous nos encouragements. Dans quelques jours un recueil de compositions poétiques saluera l'entrée de Mgr Tasso dans son diocèse et conservera le souvenir des Jêtes qui ont eu lieu. Ce souvenir est dû à la plume châtiée de M. le chan. Roux.

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