BASA
-4- la fiunille se passent d' a?lcêtres et lj ue le momie appartz'ent à ceux qztz" savent arriver .? Tout cela est paifaitement vnu', maz's le cha– noùze Gal ne prévoyait pas tes transformations, q1tand il fimdazl !'Académù de Saint A nse!me en 1855. Il aùnat't les chartes, les nzonunients, les antz'ques ùzstz'lutz'ons religieuses, !' hz'stoire de nos princes, de nos évêques, de nos familles féo– dales, de nos paroisses. Dans une vz'fle de pro– vince si riC!ze de passé, comme la nôtre, on se repose à l'ombre des monuments, on se berce sz' volontùrs azt culte des souvenz'rs ! Continuons cette marche rétrograde . En nous enracinant sur cette terre féconde qzt'est le pays natal, nos modestes études servz'ront de point de départ et de fond de scène au progrès, aux idées et à la civz'/isatz'on moderne. Sz' nos ,travaux ont subi un arrêt, nous devons aussi observer que, dans la Vallée d'Aoste, on pu– _b!ie peut-être trop. On pub!z'e sans préparation et souvent sur des arguments futiles, sans égards po·ur la langue et surtout avec des_ connaissances bz"b!iographiques insuffisantes . Il y a des travaux sérùux et documentés sur notre histoire, sztr nos ins– tz'tutz'ons et m.ême sur quelques-uns de nos évêques, qui sont paifaùement z'nconnus dans Ùi Vallée d'Aoste. Nous .voudrz'ons qu'on se persuade què la découverte et /' anal)1se d'un minerai ou d'une plante rare, que la reproduction exacte d'une
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