BASA
étude du P. Caplet, bénédictin de Rome, pré– senté par M. Corbierre qui représente la Socie'té natz"onale des antiquaz'res de France. Ensuite, Mgr Drielli, préfet de la Basilique de Superga et l'u n des représentants de la Faculté légale pontifi– cale, traite, avec profondeur, des rapports en tre l'Eglise et l'Etat et de la cé lèbre lutte au suj et des investitures soutenue par Saint Anselme con– tre Guillaume-le-Roux. Le savant P. Savio, pro– fes seu r à l'Université Grégorienne de R ome , traite, avec la compétence qu'on lui connaît , du rôl e prépondérant cl ' Anselme au concile de Bari où s'agitaient les questions délicates relatives au schisme d 'Ori ent. Enfin le P. Henri Rosa , rédac teur de la Civiltà Cattolica, expose un pro– blème importa nt de pédagogie et parle de la méthode et du système d'éducation employés par S. A nselme, e n rap port avec les mœurs et les habitudes de l' époqu e. M. le cha noine Frutaz répondant à chacu n des conférenciers et les remerciant, soulig ne à Mg r Brielli les relations cordi a les de la Maison de Savoie avec l'Eg lise d'Aoste; il félicite le P. Savio de la sévérité conscienci euse qu'il apporte clans les études historiques, et il rappelle au P. Rosa l'heure use influence exercée par la Civzltà Cattolica cla ns la culture de notre clergé. Le publi c aurait été charmé d'entendre d'au– tres orateu rs et surtout l'illustre P. Gemelli de Mila n, mais l'heure avançait et ce tte séance mé– morable fut close par 1111 discours élevé e t cléli-
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=