BASA

- 97' - l'esprit 1~eli g-ieux e t la soumi ssion affectueuse à ses évêques . Ainsi surgit, en 1891, St-A nselme, cette maison bénie qui fut le rêve de Mgr Duc, maison que, la guerre devait affecte r à d'autres usages et que l'année 1922 vient de, rouvrir en la r econsacrant à son but primitif, celui qu'avait voulu son fon– date9r . Le plus grand et le plus savant des saints valdôtains de naissance et de caractère a donné I son nom à cet établissement. C' est Mgr Duc qui l'a voulu, eLil a eu raison. Messieurs, j e m'aperçois que la ma tière se mul– tiplie s ous ma plume, et cependant j e n'ai qu'èf– fleuré mon suj et. Que serait-ce donc si j e voulais encore aborder une autre partie de l'œuvrè admi– rable de Mgr Duc, celle de !'écrivain? Je l'avoue franchement: je 'n'ai pas encore lu tous les ou– vrages que ce fécond écrivain a laissés, ni les deux cent quinze Lettres Pa'storales 'forll_!:ant un riche répertoire, ni les nombreux Mémoires, à la fois attrayants et profonds, qui orit été lus j adis , en la présence des Membres de cette Académie, à laquelle lui-même fut agrégé le 24 novembre l 864 e t dont il fut re Président autorisé pendant trente années. A ce suj e t je pourrais vous r envoyer au Dis– cours prononcé par M~ l'abbé François-Gabriel Frutaz, en l'an 1897, en l'honneur de Mg1~ Duc, lors de son Jubilé épiscopal. Ces deux hommes. se connaissaient ,et pouvaient porter t,m jugement l'un sur l'autre. 7

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