BASA
- IOJ - de son vivant; à ses obsèques , on a pu voir la même.g lorification, avec la différence qu' elle était mélangée de douleur et de regrets . Châtillon, sa patrie , lui a dédié une de ·ses places; Aoste lui a donné un témoignage qui n'aurait pu ê tre plus · senti ni plus grand. Ses funérailles ont é té celles d'un homme qu'on estime parce qu'il fut grand, d'un homme qu'on pleure parce qu'il fut aimé , d'un homme qu'on regrette .parce qu'il laisse un vide difficile à combler. Un mot à re tenir a é té prononcé par le premier magistrat de cette antique Cité , lorsqu'il a dit: « Monseigneur Duc est le plus grand des Valdô– t ains de notre époque . » J'ai déjà eu l'occasion de r épéter ce mo t , qui r épond à la vérité , e t je vou– drais le voir g ravé sur le tombeau de cet homme de bien, de ce grand Evêque que nous commémo– rons, Monseigneur JosEPH-AucusTE DUC. Aoste) le 9/anvz"er 1923. >f1 CL.-ANGE-JOSEPH CALÀBRESE, évêque d'Aoste.
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=