BASA

...,.-- 126 ~ la vie du défunt a été bien remplie aussi. Il nous laisse des exemples à imiter. Il nous lègue l'amour de cette Académie,, qu'il aurait voulu transformer selon les exigences des t emps, pour lui donner un nouv~l essor et une plus grande étendu~ . Ce désir de notre regre tté Président pourrait bien être un signal : celui de nos efforts vers ce but où il tendait. ~ Ce que j'ai dit de M. Frutaz est bien peu d,e chose en comparaison de ce qu'il a mérité entra– vaillant pour son pays. Certes, nous pouvons lui témoigner notre reconnaissance pour les travaux -auxque ls il s'est soumis et pour les fruits que son talent nous a laissés; mais Dieu seul peut donner au serviteur la récompense qui lui est due. Con– t entons-nous donc d'honorer cet éminent Valdô– tain, èt d'en rappeler le souvenir aux contem– poram~, puis à ceux qui .Jiendront après rious. · Aost~) le 20 /uzllet 1922. ~ CL.-ANGE-JOSEPH. CAL_ABRESE, évêque d)Aoste . . - »«-

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