BASA

- i38 - Après les onctions le prêtre communie le malad e . Notre Sacramentaire contient ensuite les parties mobiles d'u ne messe pour un malade afin qu'il recouvre la santé. Cette messe est sui vie d e la « réconciliation d u pénitent infirme ad morfem » et d'une autre messe pour un malade moribond avec les prières pour la sépulture. Le rite des sépu ltures est pour les jours de fête différent de celui des jours fériés . , Nous arrivo ns ainsi à la 3de partie du Sacramentai re , qui est un Mi ssel proprement dit. Nous avons ensembl e réunies les prières de préparation à la messe , cell es qu'on récite en s'habil !ant, a uxquell es suivent diverses oraisons et entre autres une « excusaào Sancfi Ambrosz· » qui n'est pas celle relatée à Ja fin de nos bréviaires comme préparatoire à la messe. Il est intéressant d e donner en ,partie !'Ordinaire et le Canon de la Messe ; j 'insiste surtout sur l<;:s passages qui ne se ra pprochent pas d es prières actuelles . Tandis que l'évêque ou le prêtre paré d es . vêtements sacrés se dirige vers l'autel, qu'il dise cette antienne : I ntroibo ad aftare .Dei, et I.e psaume J udz'ca. me, avec les prières Ab oeculii's màs. Ne ù1tres in ùtdz'çz'o cum servo tuo donzz?ze: Converfe nos deus ·sa!ufari's nos!er, .D1g1~are dne dzë i'sto. 1Von nobis., d11e, non nobis . Deus t'Xaudi oratz.onem ·mea11z. Oraison. - Aufer a nobis quesumus dne iniquitates nostras etc. A z~h;.e oraz'son. ~ Omnipotens sempite~ne deus q~i me pecca'torem sacr.is altaribus astare voluisli et sancti nominis · tui lauclare potenciam concecle queso per ·hujus sacrame'nti mysterium meorum michi (sic) veniam peccatorum ut tue maj estati clig ne ministrare merear. Per inclulgenciam et absolutio.nem omnium peccatorum. ()equitur excusacio,ante altarç. Deus·. misericordie et veritatis clementiam tuam supliciter . de.P.I.'\!GOr ut michi miserrimo innumerabi.lium veniam con– ceclas clelictorum .quibus iram tue potencie provocavi qua– 'tenus te miserai1te in hac vita ·seeunclum tuam 'Voluntatem purgatus ad beatituèiinis eterne panicipaeionem pertingam