BASA

-q - Cette étude documentée parle des archives de l'ancien Prieuré de St Bénin , appelé aujourd'hui du nom de Prz"nce de Naples, de celles du Bailliage, de la Collégiale , de l'Evêché , des monastères de la Visitation et des Dames de Lorraine, du couvent de saint François, qui avait 500 ans d'existence, et de celui des Capucins. L'auteur rappelle les tri stes vicissitudes des archi ves des Trois Etats, du Con– seil des Commis, de la Royale Délégation et de l'Intendance d'Aoste, puis de la Sous-Préfecture depuis l 859; il mentionne aussi les plagiaires mo– dernes des nombreux manuscrits de Jean-Baptiste de Tillier, que le ministre de St-Laurent e t le pro– cureur de Maistre voulaient dé truire en l 747 pour anéantir l'histoire de la Vallée d'Aoste, qui gênait un peu trop la politique niveleuse e t la r econnais– sance de la Maison de Savoie e t de ses ministres . M. le chan. Frutaz rappelle somma irement les im– menses ma tériaux des archives du Duché et ceux de St_Jacquême et du St-Bernard , emportés à Turin e t l'œuvre déloyale e t toujours néfas te de Turin contre la Vallée d'Aoste . A propos des archives de St-Jacquême et du Grand-Saint-Bernard déposées , en 1773, au nou– vèl Hôpital Mauricien d' Aoste , hériti er des biens supprimés au St-Berna rd par la Bulle du 19 août 1752, le chanoine Frutaz signa le avec indig nation l'œuvre néfaste et inexplicable du Directeur de !'Hôpital Mauricien, un piémontais sans titres et sans culture, appelé Frédéric Mattone issu des Benevello, qui transporta dans le galetas une par-

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