BASA

- 29- juin dernier . Le vide que laisse sa perte es t plus sensible encore en la présente séance , où nous ne le voyons plus apparaî tr e sur son faut euil pré– sidentiel. Apr ès la cdébra tion d' un ser vice solennel, en suffrage de son âme , bon nombre de membres e t · de personnes disting uées de la Ville , se r éunirent vers les 9 heures , da ns la salle de notre Académie , pour entendre la commémora ti on, que devait faire du r egre tté défunt le Président honoraire de la Socié té , S . G . Mgr Ca labr ese . Dans l' impo_ssibilité de r ésumer ici ce discours auquel rien n'a manqué , nous annonçons qu'il fi g urera plus loin dans ce Bulletin même . M. le comm. Chabloz, aµ nom ùes membres laïques de la Socié té , aj outa à son tour un court éloge dicté par son cœur d'ami. Après le dé_part du public , les membres de la Socié té prolongèrent la séance en s'occupan t d' un p roj e t suggéré par M. le comm. Chabloz e t M. le chev . doc teur A . Réan. Il s'agissait de la conve– nance qu'il y avait pour l'Académi e d'ache ter de M. Adolphe Frutaz, fr ère e t héritier du défun t , sa bibliothèque e t tous ses manuscrits . Ce tte propo– sition rencontra l'assentiJ11ent de tous les collègues , e t aussitô t ces deux Messie urs avec M. l'A rchi– diac re Gal, qui é tait en rela ti on particulière avec l'hé ritier, furent chargés de s'aboucher au plus tôt avec ce de rnier, de s'informer du prix de cession e t d'en r éférer à la première séance académique .

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