BASA

- 42 - cette question a déjà é té défi nie dans une séance d' il y a bientôt un demi siècle , par ces belles pa– ro les de Mg r Duc : « Il es t un qualificatif très honorable e t très hi storique dont il faut conserver l' usage en parlant de notre pays : ce qualificatif c'es t celui de Duché qui n'a pas é té aboli e t qui est touj ours vrai dans la langue de la géog raphie politique. » (r ) A ces mots , Mgr Calabrese e t l'assemblée , après lui, répè tent qu'il faut absolument conserver le titre de D uché 1 qui es t si honorable pour notre pays e t qui es t déjà entré depuis si long temps dans nos chères traditions. III. - A son tour, le Président demande s'il ne serait pas à propos de faire trois autres modifica– tions à nos Statuts ; ce serait r 0 de r éduire les séances à une seule chaque cieux mois , vu qu'il n' es t g uère possible de se rendre si fr équemment à ces r éunions ; 2 ° d 'ajouter aux membres effectifs e t correspon– dants, des membres honoraz'res 1 di stinction qu'il convient d'accorder, à titre de r econnai ssance , à (1) Page 16 du IX• Bulletin, séance du 15 janvier 1875. - Dans cette même séance, fut faite une autre observation qu'il est bon de r emémorer iç:i. M. l'abbé F enoil, s'étant souvent ser vi dans son ·opuscule : La T erreur sur les Alpes, d.e cette expression: Le Val d'Aos te, le R"' 0 P . Laurent lui fit remarquer que cette expression doit être éliminée toutes les fois qu'il est question du pays tout entier, attendu que le, bassin de la Doire, de Courmayeur à Pon t-S'– Martin, est une vallée des Alpes proprement dite et non pas un simple val,_ou une vallée secondaire.

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