BASA
- 58 - marquis Carand ini, le député Pinchia e t autres écrivains exaltèrent à l' envi, clans les journaux canavaisans , ce saint pr ê tre e t cet émi nent érudit . Au regret de ce tte per te , s' en est joint un autre : c'es t que le cher disparu n'a presque r ien publié , à cause de son excessive modestie , et qu'il a em– porté toute sa science en paradis . III. - Passant à un autre point de l' ordre du jour , M. le Président es t tout heureux d'annoncer à ses collèg ues le renouveau qui se mani fes te clans l' état financier de notre Socié té . Soit par oubli, soit à cause des inconvéni ents de la g uerre, soit pour manque prolong é d' un trésorier , les ~oti sa tions n' ava ient plus é té payées dès l'an 19 12. Or, le concours annuel des membres étant la seul e r essource de notre Institution, le Président adressa à chacun d' eux, au mois de février dernier, un bille t de r appel , les priant, pour l'honneur de notre Société , d'assure r son avenir en comblant les vides du passé . Il les invita à payer, pour les cotes arriérées , une somme à discré tion jusqu'à t out 192 3, e t pour 1924 , le montant de 25 lires , fixé par un nouveau sta tut. Le tout ayant été payé avec le plus louable empr essement, le XXIe Bulletin va ê tre mis aussi– t ôt sous presse e t , malg ré ses frais de publica tion, notre Socié té se trouvera mieux qu'elle n'a j amais é té . E n ce moment, - chose rare - il n'y a presque plus une cotisati on en souffrance e t, de plus, deux fondations ont é té faites qui s 'élèvent ensemble à la somme de 1 500 lires. E spérons que
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