BASA

- vj calme et l'aùance) nécessaires à toutes les classes de citoyens) mais surtozd a:tx sociëtés savantes. Le budget de notre Académù: eut donc à souf– frz'r) lui' aussi~ 1nelne après la guerre) du désarroi· géneral des affaires. D'autres causes) cependant) spéciales et plus ancz"ennes) (manque de dotati'on) ùzsuffisance de-la cotzsatùm) omùszon de paùmenl de la part des membnes)) provoquèrent de graves et habituels malaùes dans nos finances. On en vznt) dès 1912) à ne plus me1ne verser la modeste quote– part annuelle de cznq Hres. Notre Soczëté) sans ressources) allad sombrer prochainement. Tel était son état lorsque) le 24 fuin 1922) le savant chanoz'ne rrzda.z niourué) à l'âge de 63 ans) âvec le regret de n'avoir publzë qu'un seul Bulletin durant les quatorze années de sa présùlence. Ses collègues tz"nrent à rendre le plus bel hommage à sa viémoz"re) en se concertant aussitôt pour acheter de son hérzl:ter sa biolzothèque et tous ses manuscrits. Le 13 septembre suivant) était élu le nouveau Présûlent) en la personne de celui· qui· écrù ces li'gnes . Et ce mhne four, en vue du susdit achat) s'ouvrait entre les membres présents à la séance) une sovtscrzptz'on) qui' fut ensuite continuée par d'azdres assoczës et par les amù valdôtazns et étrangers du regretté Dé.funt. Ainsz'fut évzlée la dùpersz·on de ce patrzinoùie hùtorz·que qu'on vou– lait garder intact) et quz· maz'ntenant est acquù à l'Académze de St-Anselme.