BASA
- XVI Cet ouvrage monumental, qui au fond n 'es t qu'un prec1s, s'adressera d 'abo rd à tou s les Valdôtains instruits, pui s aux innombrables et sûrs amis que l a Vallée d 'Aoste compte un peu partout, enfin à l 'élite des fonctionnaire s qui se r endent chez n ou s des autres régions de l ' Ita lie. Le rapporteur indique .encore brièvement quell es s·eraient les bases financières de l' en– treprise, le travail accompli ju squ' i~i 0 par le comité provisoire; il demande aux membres présents l ' appui moral de leur sym– pathie et de leurs prières fraternelles et il implore sur cette œuvre de patriotisme et de foi la bénédiction de Mgr Calabrese. M. l e prof. Marini s'est en suite le vé pour remercier les membres de son admission parmi eux, où il représente la tra– .dition des professeurs du Collège qui s' intéressent à notre histoire et à l' étude des richess es naturelles du pays. M. le Professeur a en sui te salué d 'une belle envolée l' entreprise nouvelle et les ouvriers à la foi robuste et éprouvée qui s'y a ttell ent avec tant de compétence et d'abnégation. Le Comité n e manqu er a pas de tenir dan s la con sidération qu'ell es mé– ritent les remarques du prof. Marini et des autres confrères. M. le Président clôt la discussion en se disant particuliè– rement heureux d'accorder tou s ses encouragements à une œu vre qui n aît en quelque sorte sous les auspices de l 'Aca– démie de St-Anselme et qui, par le sérieux avec l equel ell e .se présente, promet de n 'être pas trop indigne de la Religion e t de la Patrie qu 'elle ent end servir. . Séance du ter mars 1928. \ Ont honoré de leur présence la réunion d e m ars les mem– bres suivants : Mgr Calabrese, Mgr Stevenin, l es chan. N ous– san, Lévêque, Lale-Démoz, l' abbé ' Trèves et l' avocat Page.. M. le président chan. N oussan a donné communication des diverses lettres qu'il a reçu'es du Comité des fêtes centenaires <l'Emm;muel-Philibert. L'Académie décide de se prêter de son mieux à la célébration de ces fêtes. Le même Président avait été prié de pressentir M. Al exan– dre D ' Entrèves, junior, au suj et du volume sur !'Histoire de l a Noblesse valdôtaine. L ' interpell é s'est montré on ne peut plus sen sicbl e aux avances qui lui ont été faites, mais il doit décliner cet honneur; espéron s que ce n e soit pas d'une façon définiti ve, à cause du genre de ses études tournées vers la philosophie e t des compléments qu'il e ntend Y apporter en s uivant les Universités anglai ses. M. N oussan reprend ·ensuite la lecture· d~ son étude sur l es F êt•es nuptiales valdôtaines. L'on en était resté au ban-
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