BASA
- 297 - 36 - A dame Loui se Montmorency, dame de Châtillon, Ren é de Challant vend la baronie de Coligny-le-Neuf . Ce ne peut-être Châti ll on en V . d ' Ao ste. 39 - La permission de tenir le march é de Verrè' aurait été concédée par l e Duc Philibert de Savoie en 1497 le 18 mars. 42 - Les quittances des marchand s et ph armacien s de Lyon indiquent que la Vallée d'Aoste commerçait dan s de s pays relativement lointains. Le même numéro nou s appren d que· le seigneur d' Aymavi lle fournissait des soldats aux armées. de France. 44 - La mère du Duc Philibert, née Mliolans de Savoie,. échange avec sa sœur ( ?) Gilliberte de Mioland des lieux et juridictions dans l e pays de Vaud et Genève en Suisse: La première cède le ch âteau de Vron et ses dépend ances et ;reçoit en échange le ch âteau Sole en Chablais, diocèse de Genève. 45 - La dame Philiberte de Pologn e, càmtesse de l\~ont mayeur, veu ve du seigneur Antoine, baron de Mio lan s, est rappelée dans cet acte parce que les Miolans fur ent appa– r entés a ux comtes de Ch all ant. - Montmayeur n' est pas à chercher en V. d'Aoste. \ 46 - A noter qu e le seign eur Claude Jaque~ de Miolans est comte de Montmaye1.tr, baron de Merinencie et seign eur de· Carmagine . 56 - D éjà en 1 506 la Val 1ée d'Aoste défend ait ses passages donnant sur le Valai s. ' 57 - Les vicomtes d'Ao ste avaient plu sieurs droit s et préro– gatives; cf. DE TILLIER, Nistorique de la V d'Aoste. Les comtes de Savoie av aient pénétré en V . d' Aoste vers le milieu du x1• s. Il s tâchèrent en suite d' augmenter l eur pou voir et leurs possessions. Ici nou s les voyons faire une échange avec les vicomtes d ' Aoste, la maison qui les appuyera en suite dans. leurs prétentions et qui sera dans l a suite spécialem ent récom– pensée. 6z - cf. a ussi 75. Plusieurs actes euren t li eu entre les Evê– ques d'Aoste et les se igneurs Ro z de Verrès a u suj et de la juridiction d ' I ssogne. D éjà en 1289 p lusi eu rs particuliers d' I s– sogne reconnaissaient la juridiction de Mon s. !' E vêqu e d'Aoste; cf. ci-ap rès, numéros 197, 198. La victoire final e r este aux Evêques, m ais ceux-ci n e voulurent pas con server le château et le vendirent aux comtes d e Challant. Ce seigneur Roz est dit, au n. 253, comte de Graines en 1372. Il a un e sœur, Mar- · guerite, veu ve du seign eu r Pi erre, seigneur de Châtillon ;
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