BASA
'°' VII e<n l\I. le Président de Cocatrix et l'Assemblée . proclamè– rent ensuite M. Boson membre correspondant de leur So– ciété. On reprit ensuite la visite aux monuments: Cathé– drale et Collégiale. A 1 heure Je dîner social réunit tout cc monde à !'Hôtel Suisse. A la fin du dîner M. de Cocatrix et M. le Commandeur Chabloz portèrent des Loasls YivemenJ applaudis. Dans la soirée de dimanche etle lundi une quarantaine de Congressistes qui avaient renoncé à repartir avec le gros de la caravane, visitèrent les châteaux de Fénis et d'lssogne. Il est à espérer que nos hôtes aient emporté un bon souvenir de l'accueil et de l'hospitalité valdôtaine et que nos relations avec nos voisins deviennent plus suivies d:rns l'intérêt des études historiques. A nos chers voisins et bons amis, termes donl se ser– vaient déjà René de Challant et le Conseil des Commis, toutes les fois qu'ils s'adressaient aux représentants du Valais, nous disons bien sincèrement::\ refaire et quam cilius. En plus de la Revue ont consacré des comptes-rendus élogieux aux travaux de la Sociéte d'histoire du Valais Ro– mand, la Prouincia, l'organe officiel du parti dans la Pro– vince, la Slampa, la Gazzella del Popolo, le Corriere della Sera, sans compter quantité d'autres petits journaux. En Suisse cet événement important a eu pareillement un large et sympathique écho dans la presse de toutes les nuances. Les cinq journaux du Valais ont voulu avoir la primeur ; le Nouvelliste avait délégué un de ses rédac– teurs, M. .Joseph Luisicr, au Congrès d'Aoste; le Confédéré était également représenté par son directeur M. Gabbud. Le Journal de Genève, la Revue et la Gazelle de Lausanne ont commenté Je joyeux événement demandant que ces contacts aient à se renouveler souvent à l'avantage de la culture, des études historiques, de la mutuelle compré– hension, de l'amitié ancienne et nouvelle qui unit les deux peuples voisins.
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