BASA

= 38 <= d 'Introd, dont l a soliÜ;:tr il (· dait a lo rs et demeura toujours parfaill' . Etait-il au courant du projd ck mariage, peut– être dès lors conç u , ùe sa filll~ aYec Pi erre d 'In– trod '! Ou bien songeait-il ù une a ll iance entre l ' un e des Ji Iles ùe Cath erine et l' un <l es desce n– dants du mème François d'Inlrod '! On ne sa urail cer tes hasanl er nn aYis ù ce propos ; mais quoi – qu 'il en soit, on pe ut Ilien conc lure q ue le ges te du vie ux com le de Cha llant , en des circonstances si délicates, tandis qu 'ù n 'en point clouter, le sort de la seign e uri e préoccupait profond ément son esprit, ne pourrait s'e:..;pliquer qu e par une en– tente parfaite en lrë les de u:..; noh les famill es s u r un dessein hien mt'' dité l'i hien arrèt<'.'. La conduite de Pierre n 'était don c pas ce lle d'un usurpateur. . .. Après la mort de Pierre , après l' investiture du comté de Challant en la per sonne de Jacctu es d'Aymaville , François <l ' In trad et sa co usine et he ll e-sœur Catherin e eurent encore, dit la cliro– nique, de n o uveau:..; ennuis ù cause d'un procès qn ·on leur intenta de sortil ège au préjudi ce clu Duc Lo ui s e l de la Du chesse sa fcrnme , mai s un acte ùe clémence les acquitta hientüt de celte ac– cusation , qui n 'était pourlan t pas la pr e mi(~rc du ge nre ; et, depuis lors, un certain calme s'é tend sur les deu x seigneuries. On r estitue les bi ens sai– sis ; les Sarriod, ù l'instance mème ùu Comte de Challant, r entrent dans les bonnes grâces du Souverain ; les rancunes s'd eignent de part et d 'autre, et enfin , quelques ans après , le mariage

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