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:n: XI '°' ont fait éclater le mouvement in su rrectionnel des Socques en 1853. Savoir: la misére noire, la publication de la loi sur de nouveaux impôts, surtout celni appelé personnel, les me– nées anticléricales. Il s'arrête surtout à silhouetter la si– nistre figure de Dogier qui a mis en œuvre tout ce que l'astuce, l'hypocrisie p euv en t inventer de plus satanique pour provoquer une persécution contre le Clergé et faire décrier la religion . Ce furcn t là des années bi<'n épineuses pour Mgr A. Jourdain. Séan('e {}u S JuiHet 1930. i\1. le Vice-Président, Chan., Prof. Boson, nous fournit d'intéressantes notices s ur les anciennes peintures reli – gieuses de la Vallée. Il nous décrit d'abord un ancien ta– bernacle de l'église de Morgex; les peintures représentant I' Adornlion des Mages de l'ancienne sacristie de la même église, fondée à la fin du fime siècle et la principale du Val– digne. Il passe ensuite à celles de l'église d'Arnad, puis à celle qui représente S. Chris tophe dans la chapelle Des Cours à La-Salle. L'auteur nous fait observer ici qu e dan s Je Châ teau des Seigneurs Des Cours il y avait deux salles pleines de peintures. A l'extérieur de l'ancien Hospice de Liverogne, on re– marque encore des p ersonna ges s'adonnant à l'œuv re mi– séricordieuse de la visite des captifs. M. Boson nou s dé · crit aussi la crypte, le corridor, la nef de l'église S. Léger d'Aymaville. Ici pas de peintures. Par contre à Gressan on voit des peintures de S. Georges, de S. Lazare, Sainte Mar– the, Sainte M. Madeleine, etc. M. !'Abbé F. Andruet nous lit sa monographie de la paroisse de Chesalet. Après nous avoir retracé d'un e façon déta illée l'origine de l'égli se, il nous donne la description du joli clocher bénédictin avec son horloge const ruit en 1910; il mentionne la requête faite à !'Intendant d'Aoste pour obtenir la recon s truction d'une Cure plus grande et plus commode. Des Curés commendataires, nous dit M. Andruet, ont été invest is de la juridiction de cette paroisse.