BASA

:m 100 = Vi ent ensuite l e comte Alh éric (845-880), a uqu el succède son fils Mainfroi (888 i" 896). Après Amé– dée (8\ l6-898), no us trouvons Sigefroi (899-90.J), puis Bérenger (\HO), et enfin Gilbe rt (923). (1) De tou s ces personnages, celui qui porte Le nom le plus r are, du moins sous les premi ers rois de la dynas ti e caro lingienne, est le comte Mainfroi . Son seul homonyme connu est un duc contempora in de Charlemagne, Meginf'ridus dux , qui défendit contre les Avares la fronti èr e orien– tale de l'empire franc (2), fut missus en Bavière (791 ) (3) e l mourut en 801 à Bénévent (4). - Il laissa it un fil s nommé Gainfroi , Gagenfridus, dont un e charte de l'a bbaye de Gorze (5) nous fait connaître le mariage, contracté d ès 795 avec Theu– delincl e, fille du comt e Albéric II du Blois mo– sellan. Suivant toute apparence, Albéric et Main– froi de Milan sont le petit-fil s e t l'arrière petit-fils des deux époux Gainfroi et Thcudelinde. Sans ètre fr équents, les Sigefroi sont un pe u moins r a r es qu e les Mainfroi. Presq ue tous ap– paraissent en terre franque, sur l es bords du Rhin , où il s continu ent sa ns cloute l es Sigefroi de l'é– poque mérovingienne: tel Sigefroi , com te en 85() e t témoin à cett e date d ' un échange (6) de biens (1) V . la liste dresséo par AL. COLOMBO, da:.:s l'..d.rchivio sto rico loinbardo, XLIX, 1922, p. 256 et sniv. (2) Einlicirdi Annales, ad. an n . 7\Jl; Poeta Saxonicus, r.i, 50 (3) MEICHELBECK, J-fistorfo F risingensis, D. 103. (4) .A.lcuini epis tola . (5) Gartiûaire cle Gorze, éd . d'HERBOMEZ, n. 37. (6) ScHANNAT, Trnditiones E'uldenses, n. 476 . Ce comte Si-