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que l'indice onomastique ne nous a pas induit en erreur. Tout le problème se résout en la re– cherche suivante: à laquelle des souehes que nous venons d' énumérer les Amédée de Savoie ont-ils le plus de chance de se rattacher'! III. D'après nos travaux antérieurs (1), la généalo– gie immédiate d 'Humbert aux Blanches-Mains s'é– tablit de la mani ère suivante: (Voir ci-après le nrrne tabl ea u généalogique). Que penser, du point de vue spécial qui nous occupe, des quatre personnages - Odon et En– gelberge, Hugues et Guille ·- cités en première ligne '? Si Odon se rattache bien, comme nous conti– nuons à la penser , à la famille viennoise des Rostaing, s'il est le petit-fils de Rostaing (873-895) et de Wandelmodis (889), elle-même fille du comte Odon ("i" 871) et de Wandelmodis, il n'y a rien à chercher de son côté, puisque nul indice ne dé– note, de la part de ces divers personnages, une relation quelconque avec un Amédée. Il en va de même pour Hugues (2). Ses frères sont Ri chnrcl, comte de Troyes (925-931) et Ma– nassès, a rchevêqu e cl'Arl es (i- ap. 96fi). Son père est Garnier, vicomte de Sens et comte de Troyes (1) Le problème des origines de la, llfaison de Srwo,ie, dans lPs Annales de Bourgogne, 1931, ru, p. 161. (2) V. G. de MANTEYER, L es origines de let lliaison de Sa – voie en Bourgogne, passim.

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