BASA

:o:: 11 2 un d e l 'a n 900, est le gendre du sou ve r ain (1) contre lequ el il conspire: e t cec i exclu t abso lument l'hy– pothèse d 'un mariage avec la sœ ur du prétendant qu 'il suscite. Il n e peut donc être le père d e la comtesse Guille. Reste, il es t vrai , l'hypo th èse d ' un fr ère cadet ou d' un frère aîn é cL\da lbert, que l'on pourrait retrouver dans le comte Améd ée de Milan (8%- 898) - à condition , tout efois, de différencier ce t Amédée de l' Amédée pl us anci en en qui nou s avons reconnu un parent de l 'impératrice Engel– berge. Ma is ri en n'autorise un e t elle différen cia– tion : l a raret é du nom s'y oppose mêm e plutôt. En outre , Am édée n 'ex iste plus en l'an 900, c'est– à-dire ù la dat e où il dcYrait ê tre présent pour contracter l e mariage qu e no us prés umons. Enfin , et cet argumen t vaut pour Adalherl aussi bien que pour tout autre membre de la famill e d 'Ivrée, on ne trouve pas la moindre trace des prénoms traditionnels de cette famill e - Gui , Milon , Anchi er, Adalbert - dans la descendance d 'Hugues et de Guill e. Nous n e croyo ns don c pas qu 'il faill e chercher de ce côté l e beau-frèr e inconnu de Louis !'A– veugle. * •• Après Adalbert d 'Ivrée, l e principal soutien d e la royauté de Louis - sans cloute parce qu 'il en a été l ' un d es plus actifs promoteurs - es t le comte de Milan, Sigefroi. (1) Lu rrPRAND, n, 33 .

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